Des statistiques convaincantes sur la sécurité des suppléments alimentaires

Des statistiques convaincantes sur la sécurité des suppléments alimentaires

Le groupe britannique Alliance for Natural Health International a récemment publié des statistiques émanant du R.-U. et de l’Europe qui révèlent que comparativement à la prise de suppléments vous avez:

  • 900 fois plus de risque de mourir d’empoisonnement alimentaire que de la prise de suppléments;
  • 300 000 fois plus de risque de périr suite à des procédures médicales alors que vous êtes hospitalisé;
  • 62 000 fois plus de risque d’avoir une réaction fatale aux médicaments.

Les données en provenance des États-Unis vont dans le même sens que les données britanniques. Ainsi, selon les dernières statistiques émanant de la US National Poison Data System, AUCUN DÉCÈS n’a été attribuable à la prise de suppléments de vitamines et de minéraux en 2010 et cela malgré le fait, noté par la revue Orthomolecular Medicine News que l’on estime que les Américains ont consommé cette même année plus de 60 milliards de doses de suppléments alimentaires. Imaginez : plus de 60 milliards de doses de suppléments par année et pas un seul décès attribué à cette énorme consommation!!! Si les suppléments sont si dangereux, comme le clament les autorités de la santé et les médias, où sont les preuves? Par comparaison, on sait que chaque année les médicaments correctement prescrits et administrés sont responsables de 125 000 décès. (En ajustant ce nombre pour la population, au Canada il y aurait donc 12 500 décès annuellement.)

Ces données indiquent clairement que les suppléments et remèdes naturels sont super sécuritaires et que les autorités Nord-américaines (Canada/É.-U.), de même que les autorités européennes et britanniques font preuve d’illogisme en prétendant que les suppléments alimentaires sont dangereux et doivent être réglementés de façon plus stricte.

Le Dr Mercola n’y va pas par quatre chemins – à son avis ces autorités gouvernementales cherchent à contrôler les suppléments alimentaires pour éliminer la concurrence qu’ils posent aux médicaments. «Il est tout simplement incompréhensible», dit-il, «qu’une approche rationnelle de la part des autorités de la santé s’acharnerait à faire des suppléments des substances dangereuses alors que les données et les statistiques ne soutiennent en aucune façon cette prise de position.» La seule conclusion possible est que les autorités de la santé en Amérique du Nord et en Europe sont devenues les marionnettes de l’industrie pharmaceutique qui ne s’arrêtera à rien pour détruire sa grande rivale: l’industrie des produits naturels.

Le Dr Mercola suggère de reprendre un slogan lancé par Nancy Reagan (la femme de l’ancien président) au début des années 80: «DITES NON AUX DROGUES» mais cette fois plutôt que de cibler les drogues illégales, il faudrait cibler les drogues prescrites. D’ailleurs un rapport publié en 2011 par le Centre for Disease Control and Prevention aux États-Unis indique que le nombre de décès causés par les médicaments prescrits comme analgésiques et psychotropes provoquent plus de décès que le total des décès attribués à la prise combinée d’héroïne et de cocaïne. Il est donc grand temps de DIRE NON AUX DROGUES si vous ne le faites pas déjà et que vous tenez à sauvegarder votre santé et votre qualité de vie.

 

Source: http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2012/07/24/pharmaceutical-drugs-vs-nutritional-supplements.aspx?e_cid=20120724_DNL_artNew_1

 

Lecture suggérée: «Le dernier des bien portants: Comment mettre son bien-être à l’abri des services de santé», par Nortin M. Hadler, M.D. Traduit et publié par le Dr Fernand Turcotte, M.D.